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- Cours d'impression sur tissu 1 journée
Atelier intensif sur 1 journée (6h) pour apprendre à graver sur des tampons et faire des impressions sur tissus. Nous mettons à votre disposition: - Des gouges - De la gamme - Des encreurs - Des modèles - Un cutter - Du papier calque - Du tissu
- Cours de bijouterie
Apprendre à reconnaître l'usage des différentes limes et mises en œuvre des outils sur le métal. La manipulation du chalumeau et des techniques de l'assemblage des parties métalliques. La maquette (la cire perdue) savoir tracer, reporter un motif sur la cire, l'apprentissage des différentes techniques, pour sculpter la cire (limer, spatules, échoppes, fraise, spatule chauffante
- Tombak
David BRULEY est Percussionniste passionné par l'Iran et spécialisé dans les instruments persans. Il est le fondateur et le directeur de l'institut des Musiques Persanes de Lyon et s'est formé auprès de nombreux maîtres : Madjid Khaladj, Farhad Safari, Jafar Ghazi Askar, Kambiz Ganjei... Le Tombak, tambour en forme de calice est l'instrument maître de la musique savante persane. Il est taillé dans une pièce de bois et est muni d'une peau de veau, de chèvre ou de chameau. Le Tombak est un des instruments à Percussion le plus complet avec une palette sonore incroyable. Son apprentissage est une véritable connaissance de soi, un parcours passionnant et hypnotisant et la porte qui ouvre le monde de la musique savante persane.
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- Traversée de la Route de la Soie : le Tadjikistan
Ce mois-ci nous partons à la découverte du Tadjikistan, un petit joyau niché au cœur de l’Asie Centrale. Malgré ses montagnes, la Route de la Soie s'est frayée un chemin et y a laissé dans son sillage une culture aussi diverse que riche. Pour mieux comprendre ce qu’est la Route de la Soie, c’est ici. Une étape incontournable de la route de la Soie Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la topographie montagneuse du Tadjikistan n’a pas été un obstacle au développement de la Route de la Soie. En effet, les routes montagneuses, en dépit de leur défi topographique, offraient une sécurité accrue aux caravanes, traversant des vallées bordées de crêtes montagneuses qui agissaient comme une protection fiable contre les attaques de brigands. De ce fait, plusieurs axes cruciaux de la Route de la Soie ont traversé le Tadjikistan, témoignant de son rôle protagoniste dans les échanges commerciaux et culturels de l'Antiquité et du Moyen-Âge. Parmi eux, l’ancienne route Soghd qui reliait Samarkand à Kokand, deux escales ouzbeks incontournables de la Route de la Soie. Elle passait par des points stratégiques tels que Pendjikent et s'étendait ensuite vers la vallée de Fergana, qui couvre l’est de l’Ouzbékistan, le sud du Kirghizistan et le nord du Tadjikistan, en passant par des villes clefs telles que Varz, Khoudjand, Konibodom, et Isfara. Une autre voie, parfois désignée sous le nom de « Karotegin », établissait une liaison entre Termez (Ouzbékistan) et Kachgar (Chine), traversant des régions telles que Hissar et la capitale tadjik, Douchanbé. La route de Khatlon quant à elle se détachait de Karotegin vers le sud, reliant Douchanbé à Balkh (Afghanistan), marquant la limite méridionale de la Route de la Soie. L'itinéraire connu sous le nom de « Pamir » partait de Balkh (Afghanistan) et passait par Khorog, se divisant ensuite en d'autres trajets. En plus de la capitale Douchanbé, les villes tadjikes de Pendjikent, Ura-Tybe et Khoudjand étaient jadis de véritables pôles culturels et commerciaux reconnus pour leur artisanat artisanal raffiné. Douchanbé La capitale actuelle du Tadjikistan, Douchanbé, qui signifie littéralement "lundi" en persan, était à l'origine un petit marché qui au fil des siècles a évolué pour devenir un centre urbain incontournable sur la Route de la Soie, situé de manière stratégique entre les routes du nord et du sud qui traversent le Tadjikistan. Les marchands s’y rendaient pour échanger des épices, des soieries, des pierres précieuses et divers produits exotiques. L'architecture de Douchanbé porte des traces des influences perse, turque et russe, témoignant des multiples vagues d'influences culturelles qui ont traversé la ville au fil des siècles. Des monuments historiques, tels que le Palais du Parlement et la statue du fondateur du Tadjikistan, Ismail Samani, reflètent cette riche histoire. Pendjikent Impossible de passer à côté de Pendjikent, la plus ancienne cité du Tadjikistan du haut de ses 5 500 ans. Nichée dans la vallée pittoresque de la rivière Zeravshan, à proximité de Samarkand, cette terre bénie par la beauté et la fertilité a donné naissance à de modestes colonies qui, avec le temps, ont évolué pour former une cité prospère entre les Ve et VIIIe siècles. Pendjikent s'est épanouie comme l'un des centres culturels et artisanaux les plus significatifs de la région de Soghd. On la surnomme même la "Pompée d'Asie centrale", témoignant de son importance dans le paysage culturel et commercial de l'époque. Le joyau de cette civilisation florissante était le palais du gouverneur, entouré de temples majestueux, de marchés animés, et de riches demeures de citoyens ornées de sculptures en bois et en argile représentant des divinités anciennes. Ura-Tyube (Istaravchan) Située au nord du Tadjikistan, aux pieds de la crête du Turkestan, Ura-Tyube (trou « ura », colline « tepe ») fut fondée au VIe siècle avant notre ère par Cyrus, le roi achéménide, elle portait alors le nom de “Cyropolis” ou “Kuruchkada”. Lors de la conquête de l'Asie centrale par Alexandre le Grand au IVe siècle avant notre ère, Kourouchkada était déjà une grande cité solidement fortifiée mais les Grecs parvinrent à s’y introduire, conduisant à la destruction de la ville sur ordre d'Alexandre le Grand. Khujand Nichée au cœur de la vallée pittoresque du Syr-Daria, cette cité millénaire est évoquée pour la première fois dans les écrits d'Aristote. Au fil des siècles, elle s’est vue renaître de ses cendres plusieurs fois, au fil des évasions. Positionnée stratégiquement au carrefour de routes commerciales majeures entre l'Orient et l'Occident, Khujand a émergé comme l'un des principaux pôles économiques et culturels d'Asie centrale depuis des temps immémoriaux, devenant un centre névralgique de la Route de la Soie. Les produits soyeux et les bijoux façonnés par les artisans de Khujand étaient célèbres non seulement en Orient, mais également au-delà. D’ailleurs, les noms des quartiers de la ville, tels que Zargaron (joailliers), Pilakashon (soyeux), Sangburon (maçons), témoignent de la prépondérance de ces métiers au sein de la ville. Encore aujourd’hui, Khujand attire de nombreux visiteurs friands de ses sites emblématiques tels le mausolée du cheikh Muslekheddin, ses mosquées et minarets qui datent du XVème au XVIIIème siècle. Malgré sa taille et son relief montagneux, le Tadjikistan avec ses nombreux sites historiques, ses caravansérails et ses vestiges archéologiques est une escale incontournable de la Route de la Soie qui a contribué à sa grandeur commerciale et culturelle.
- Shab-e Yalda, une fête ancestrale
Les fêtes de fin d’année approchent à grands pas et c’est l’occasion pour Paris-Perse de vous présenter une fête qui remonte au IIème millénaire av J-C : “Shab-e Yalda” ou “Shab-e tcheleh”, en français “nuit de la naissance” lors de laquelle on célèbre la nuit la plus longue de l'année, assimilée à la naissance de Mithra, le dieu du Soleil. Bien que sa signification religieuse se soit estompée au fil des siècles, Shab-e Yalda n’en demeure pas moins une tradition bien ancrée dans la culture persane. Une célébration symbolique et unificatrice Le Yalda est une étape clé du calendrier persan. Le 21 mars, Norouz célèbre l’équinoxe vernal marquant le premier jour du printemps. Le 21 décembre, la fête de Yalda célèbre le solstice d’hiver et le passage entre le mois d'Azar au moins de Dey symbolisant la création. Cette célébration a la particularité d’être associée à différents cultes à travers différentes époques, faisant d’elle un rite unificateur. À l’origine, Shab-e Yalda célèbre la naissance de Mithra, fils de la déesse Anahita et dieu zoroastrien du feu et du soleil mais aussi symbole de l’amour et du pardon dont le culte s’est étendu jusqu’à la Rome Antique. Lorsque les courtes journées d’hiver s’allongent en laissant progressivement place à la lumière, le mithriacisme y voit la naissance de ce dieu. Il est d’ailleurs fort possible que les chrétiens réfugiés en Iran durant l’empire Romain se soient approprié cette coutume pour célébrer la naissance de Jésus, Noël. Dans la religion zoroastrienne, Shab-e Yalda possède une toute autre signification. En effet, aux yeux des zoroastriens, le solstice d’hiver incarne la victoire du monde bienveillant de la lumière sur celui des ténèbres. Le dernier jour du mois de Azar est le plus long de l’année, quand les forces malfaisantes d’Ahriman, Dieu du Mal, sont à leur apogée. En opposition, le premier jour du mois de Dey, appelé Khoram rouz, ”jour du soleil”, est associé à Ahura Mazda, le Dieu lumière et créateur. Lorsque Azar laisse place à Dey, les zoroastriens y voient la victoire de Ahura Mazda sur Ahriman après de longs mois de lutte. Suite à la conquête de l’empire Sassanide par les musulmans au VIIème siècle, le Zoroastrisme s’est vu disparaître au profit de l’islam mais la fête de Shab-e Yalda est restée intacte bien qu’elle ait perdu sa signification religieuse. Aujourd’hui, cette fête est une occasion pour les familles de se retrouver autour d’une célébration pleine de symboles. De même, la célébration de Shab-e Yalda cristallise l’histoire commune des pays de l’Asie centrale, comme l’Afghanistan, l’Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Turkménistan et des États du Caucase, l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Sans parler des Juifs iraniens dont la célébration du “Rosh HaShanah La’Ilanot”, “Nouvel An des Arbres”, se déroule de la même manière que le Shab-e Yalda. Son déroulement Les familles se retrouvent la nuit du 21 décembre autour d’une table, d’un sofreh (nappe recouvrant un tapis) ou d’un korsi (table basse recouverte d’une couverture) qui sont des éléments incontournables du mobilier traditionnel persan. On y sert des fruits frais et notamment des grenades et des pastèques dont le rouge incarne le feu et le Soleil, source de lumière. De plus, consommer des fruits frais au beau milieu de l’hiver rappelle les coutumes anciennes qui visaient à invoquer la protection des dieux sur les récoltes hivernales. Les fruits emblématiques du Shab-e Yalda sont : La pastèque, qui a été préalablement conservée depuis l’été et qui symbolise santé et bien-être ; La grenade, dont les grains symbolisent le cycle de la vie et la fertilité ; Des fruits secs, “ajil”, symboles de prospérité mais aussi servant d’offrande pour la résolution d’un différend. Selon les régions, la consommation de certains aliments peut être assimilée à une promesse de bonne santé. Après le dîner, on se rassemble pour se raconter des histoires et des anecdotes au cours d’un moment convivial. L’élément central de ce rite est le recueil de poèmes de Hafez, le Divân, dont on va se servir pour prédire le futur. Chacun ouvre une page du Divân au hasard, et le poème récité sera interprété comme une prédiction de l’avenir. Autre coutume commune ; les jeunes fiancés peuvent profiter de Shab-e Yalda pour offrir à leurs futurs beaux-parents un panier contenant 7 sortes de fruits et légumes. Les coutumes varient selon les régions et certaines se sont perdues à travers le temps, mais le 21 décembre reste pour les iraniens du monde entier un moment de convivialité et de partage.
- Traversée de la Route de la Soie : le Kazakhstan
Notre périple sur la Route de la Soie continue ! Après l'Ouzbékistan et l'Arménie, place au Kazakhstan. Découvrez ce pays, ses vastes steppes traversées par les marchands de l'"Empire Céleste" et ses caravansérails, témoins de ce pan d'histoire qui imprègne encore sa culture aujourd'hui. Pour mieux comprendre ce qu’est la Route de la Soie, c’est ici. Le Kazakhstan occupe une position clé dans le carrefour de la Route de la Soie. En effet, la principale voie de la Route de la Soie traversait la région de Semirechye et le sud du Kazakhstan dès la seconde moitié du VIe siècle, lorsque Semirechye et le sud du Kazakhstan sont devenus des parties intégrantes du khaganat turc, un immense empire nomade s'étendant de la Corée à la mer Noire. À la fin du VIe siècle, le khaganat s'est scindé en deux entités distinctes, l'une à l'est et l'autre à l'ouest, et Semirechye est devenue le cœur du khaganat turc occidental, ayant pour capitale la ville de Suyab. Cette période a vu l'émergence de nouvelles villes à Semirechye et dans le sud du Kazakhstan, notamment celles situées le long de la Route de la Soie ou entretenues par des liens commerciaux avec celle-ci. Parmi les plus prospères figuraient Suyab, Taraz et Ispidzhab. Cette branche de la Route de la Soie a maintenu son importance jusqu'au XIVe siècle, lorsque des troubles civils et des conflits ont causé la destruction des villes. C'est au milieu du XIIIème siècle qu'elle est réutilisée et reconnaît un essor auprès des ambassades commerciales et diplomatiques en direction de Karakorum, la capitale de l'empire mongol. Nous allons donc vous faire découvrir les villes kazakhs emblématiques de la Route de Soie : d'Est en Ouest, puis vers le Sud, Almaty, Taraz, Turkestan, Otrar, Chiquent et Sayram. Étape 1 : Almaty Almaty, anciennement connue sous le nom d'Alma-Ata, était un point de départ clé pour les caravanes de marchands se dirigeant vers l'ouest. Cette ville était le centre de l'activité commerciale, où les marchandises précieuses en provenance d'Asie centrale et d'Extrême-Orient étaient stockées et redistribuées. Almaty est aujourd'hui la plus grande ville du Kazakhstan, mais elle garde des traces de son passé sur la Route de la Soie à travers son architecture, ses musées et ses artefacts historiques. Étape 2 : Taraz Plus vers l'Est du pays, se trouve une autre ville incontournable de la Route de la Soie, Taraz, anciennement appelée Talas.L'histoire de Taraz est fascinante, avec plus de 2000 ans d'existence en tant que carrefour commercial et administratif clé de la Route de la Soie entre les 7e et 9e siècles où marchands et voyageurs se retrouvaient. Au 13e siècle, la ville fût dévastée par les invasions mongoles, ce qui a entraîné sa chute. Malgré cette tragédie, Taraz a réussi à renaître progressivement de ses cendres au fil des siècles. Aujourd'hui, la ville est fière de son riche patrimoine historique, avec plus de 70 monuments d'archéologie, d'architecture et d'art qui témoignent de son glorieux passé. Parmi les sites emblématiques, le Mausolée Aisha-Bibi, classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. Entièrement décoré en terre cuite, il était dédié à une légendaire princesse de la région.Parmi les monuments de Taraz, on compte aussi le Mausolée Karakhan, édifié au 11e siècle et qui honore le fondateur de la dynastie Kharakhanide qui a joué un rôle majeur dans l'islamisation de la région. Étape 3 : Turkestan La ville de Turkestan, autrefois connue sous le nom de "Yasi" a joué un rôle central à la fois sur le plan spirituel et politique pour le peuple turcophone de la région du 16e au 18e siècle. Elle a gagné une renommée internationale grâce aux prédications du célèbre cheikh soufi et philosophe "Khoja Ahmed Yasawi". Son mausolée, érigé 233 ans après sa mort sur ordre direct de Tamerlan, est aujourd'hui un chef-d'œuvre de l'architecture médiévale et un lieu de culte majeur pour les musulmans de la région, il est d'ailleurs inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, ce qui a renforcé le statut culturel et historique de la ville. Étape 4 : Otrar Plus vers le Sud, se trouve Otrar, une ville fantôme située à la confluence de l'Arys et du Syr-Daria. Couvrant une superficie de 200 km², ce site archéologique révèle les vestiges de six villes médiévales dotées d'un système de canaux d'irrigation vieux de 2 000 ans. Autrefois appelée Farab, cette cité a été le lieu de naissance du célèbre philosophe et scientifique médiéval "Al-Farabi" et était un centre commercial et artisanal majeur sur les routes caravanières entre l'Europe de l'Est et la Chine. Malheureusement, à la fin du 13e siècle, les troupes mongoles ont détruit Otrar de la même manière qu'elles l'ont fait pour Taraz mais qui, heureusement, comme elle, a su renaître de ses cendres. Étape 5 : Chimkent Chimkent, anciennement appelée Shymkent, occupe une place significative dans l'histoire de la Route de la Soie. Des fouilles archéologiques ont révélé que la ville a plus de 2 200 ans d'histoire. Son héritage est le fruit d'influences culturelles diverses, notamment perses, sogdiennes, arabes, mongoles et turques. La ville a joué un rôle central dans la diffusion de connaissances et d'arts le long de la Route de la Soie, contribuant ainsi à l'enrichissement des cultures de la région. De nos jours, Chimkent est une ville moderne qui allie son héritage historique à une économie en pleine croissance, tout en conservant des trésors architecturaux qui témoignent de son passé sur cette route commerciale légendaire. Une étude exhaustive de la vieille ville a d'ailleurs été lancée, suivie de fouilles, de préservation et de restauration des murs, ainsi que de la reconstruction de l'ancienne citadelle avec ses caravansérails. Étape 4 : Sayram Située à quelques kilomètres à l'est de Chimkent se trouve la ville de Sayram. Les premières mentions de Sayram remontent à des textes anciens, notamment l'Avestan, le livre sacré du zoroastrisme, ainsi que des manuscrits chinois datant de 629. De par ses nombreux mausolées et de monuments sacrés, Sayram est une étape incontournable le long de la Route de la Soie. Non loin se trouve la montagne de Kazygurt, un massif qui s'élève à 1 776 mètres de hauteur, au sommet duquel l'Arche de Noé aurait atterri lors du déluge selon la légende... La Route de la Soie au Kazakhstan est bien plus qu'un simple réseau de routes commerciales anciennes. Elle représente un héritage culturel riche, un témoignage de l'importance du commerce et de l'échange culturel entre l'Orient et l'Occident. Les sites historiques, les caravansérails et les vestiges archéologiques kazakhs sont des témoins vivants de cette époque fascinante, rappelant la contribution exceptionnelle de la région à la Route de la Soie. Alors que le pays continue de préserver son patrimoine et de le partager avec le monde, le Kazakhstan demeure un incontournable pour tous les passionnés d'histoire et de culture.